Jésus s’adresse à des pêcheurs de métier : « Suivez-moi, et je vous ferai pêcheurs d’hommes ». Ces hommes savaient trois choses sur la pêche. 1) On doit aller là où se trouve le poisson. Vous dites : « Je pensais que j’étais censé(e) me séparer du monde. » Jésus n’a pas renié la société. Il s’y est engagé afin de la changer. Et vous devez faire de même. Jésus a prié : « Je ne te prie pas de les ôter du monde, mais de les garder du Malin. Ils ne sont pas du monde, comme moi, je ne suis pas du monde. Sanctifie-les par la vérité : ta parole est la vérité. Comme tu m’as envoyé dans le monde, moi aussi je les ai envoyés dans le monde » (Jn 17.15–18). 2) On doit être prêt lorsque les poissons mordent. La Bible dit : « Soyez toujours prêts à vous défendre contre quiconque vous demande raison de l’espérance qui est en vous : mais faites-le avec douceur et crainte » (1P 3.15). Croyez ce vieil adage : « Quand l’élève est prêt, le professeur apparaît. » 3) Il faut utiliser le bon appât pour attraper du poisson. Paul a dit : « Je n’ai pas honte de l’Évangile : c’est une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit » (Ro 1.16). Le mot « Évangile » signifie bonne nouvelle. Les pécheurs sincères au repentir se sentent déjà mal à propos de leurs combats. Ils ont juste besoin de pouvoir changer. Pour y arriver, une seule solution : « l’Évangile, […] une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit ». Gardez ces trois principes clairement à l’esprit et partez aujourd’hui à la pêche aux âmes.