Paul dit : « Christ est mort pour nos péchés, […] il a été enseveli, il est ressuscité le troisième jour, selon les Écritures, et il a été vu par Céphas, puis par les douze. Ensuite, il a été vu par plus de cinq cents frères à la fois, […] il a été vu par Jacques, puis par tous les apôtres. Après eux tous, il s’est fait voir à moi » (1Co 15.3–8). Certains grands penseurs à travers le monde ont d’abord été incroyants puis ont fini par faire confiance au Christ. Pourquoi ? Ils ont examiné les preuves et se sont rendus à l’évidence ! Si Jésus était vraiment ce Dieu incarné en être humain, mort pour nos péchés et ressuscité, alors ils allaient devoir prendre une décision pour changer leur vie : soit l’accepter, soit le rejeter. Et chacun(e) de nous doit prendre la même décision. Le jour de la Pentecôte, Pierre s’adresse ainsi à son auditoire : « Vous l’avez tué en le faisant clouer sur une croix par des infidèles. Mais Dieu l’a ressuscité » (Ac 2.23–24, BFC). Et lorsque la foule lui demande ce qu’il faut faire, Pierre répond : « Changez de comportement et que chacun de vous se fasse baptiser au nom de Jésus-Christ, pour que vos péchés vous soient pardonnés » (Ac 2.37–38, BFC). Ce jour-là, trois mille âmes ont été gagnées à Christ et l’Église a vu le jour. En résumé, Jésus est mort pour nos péchés et est ressuscité pour nous représenter en tant qu’avocat devant le trône de Dieu. La sagesse voudrait qu’on l’accepte comme notre Seigneur et Sauveur sachant qu’il nous donnera une vie abondante maintenant et la vie éternelle au ciel.