"Toutes les nuits j'attends votre e-mail à 1h du matin pour écouter la méditation de Bob Gass et je la partage sur les réseaux sociaux. Ces méditations en fortifient beaucoup et je remercie Dieu !" Philippe Je fais un don
Dieu demande à Abram de quitter son pays, sa famille et son confort. En disant « oui » à Dieu, il se lance dans l’inconnu vers un destin basé sur la force d’une promesse. Sans hésiter malgré ses 75 ans, « Abram partit, comme l’Éternel le lui avait dit » (Ge 12.4). Vingt-cinq ans plus tard naît Isaac, le fils miraculeux qui accomplirait la promesse de Dieu : « A travers eux, je bénirai toutes les nations de la terre, parce qu’Abraham a obéi à mes ordres » (Ge 26.4–5). Un jour, Dieu lui propose un choix cornélien : « Prends donc ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t’en dans le pays de Moriya et là, offre-le en holocauste » (Ge 22.2). Fidèle à la Parole de Dieu : « Abraham se leva de bon matin, sella son âne et prit avec lui […] son fils Isaac » (v.3). La promesse de Dieu dépendait de la volonté d’Abraham de renoncer à ce qu’il aimait le plus. S’accrocher à Isaac aurait été naturel et compréhensible, mais aurait empêché la promesse de s’accomplir. Alors, à quoi s’accroche-t-on qui bloque la bénédiction de Dieu ? Les enfants, les amis, la réputation, le pouvoir, le confort, les habitudes ? La volonté d’Abraham de sacrifier Isaac était l’acte de foi suprême. La Bible affirme : « C’est par la foi qu’Abraham, mis à l’épreuve, a offert Isaac ». Comment a‑t-il pu s’y résoudre ? « Il comptait que Dieu est puissant, même pour faire ressusciter d’entre les morts » (Hé 11.19). Abraham croyait qu’avec Dieu, lâcher prise ne signifie jamais perdre mais récupérer quelque chose de meilleur. Croyez-le, vous aussi !
"Les exhortations de Parole du Jour ont contribué à réellement changer ma vie. Je vous lis et vous écoute en sachant qu'une bénédiction va m'accompagner. Merci infiniment." Albéric Je fais un don