On a souvent du mal à comprendre les voies de Dieu. On se sent parfois effrayé et seul, même si avec le recul, on voit comment Dieu a dirigé et béni. Jésus lui-même s’est écrié : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » (Mt 27.46). Ce qui veut dire : « Je ne comprends pas ce qui se passe en ce moment, mais je sais que tu es toujours mon Dieu. » Quelle assurance ! Un enfant va prendre la main de son papa et lui dire : « Ralentis, tu marches trop vite. » Il craint de se perdre ou d’être laissé en arrière. Sentez-vous aujourd’hui que vous avez du mal à suivre le rythme, comme si la vie allait trop vite ? La Bible dit : « Comme une biche soupire après l’eau du ruisseau, moi aussi je soupire après toi, ô Dieu » (Ps 42.2, BFC). On ne soupire pas après ce que l’on déteste. On se tourne vers Dieu seulement si le reste ne marche pas, parce que l’on sait que sans lui on n’y arrivera pas. En fait, si on n’avait pas besoin de lui aussi désespérément, on se satisferait de moins. Lorsque l’on cherche Dieu de tout son cœur : 1) on entre dans le royaume où « tout est possible » (Mr 10.27). 2) on est de plus en plus semblable à Christ, parce que l’on reflète sa gloire (voir 2Co 3.18). 3) on apprend que certains niveaux de bénédiction ne sont atteints que si on cherche Dieu avec persévérance (voir Hé 11.6). Si les solutions humaines vous déçoivent et que vous avez besoin de plus que de simples conseils, entrez dans la présence de Dieu et laissez-le vous parler.