C’est l’histoire d’un jock­ey, record­man du nom­bre de vic­toires en cours­es. Quand on lui demandait les raisons de sa réus­site, il répondait qu’avant chaque épreuve, il allait voir son cheval à l’écurie pour lui fre­donner à l’oreille : « Gazon vert et lilas bleu, cheval qui perd est un peureux ! » Heureuse­ment, avec nous, Dieu s’y prend autrement ! Parce qu’il a été le pre­mier arti­san de l’Univers, sa Parole en dit long sur les respon­s­abil­ités et les récom­pens­es d’un dur labeur. « Servi­teurs, obéis­sez à vos maîtres selon la chair avec crainte et trem­ble­ment, dans la sim­plic­ité de votre cœur, comme au Christ ; et cela non seule­ment sous leurs yeux, comme pour plaire aux hommes, mais comme des servi­teurs de Christ, qui font de toute leur âme la volon­té de Dieu. Servez-les de bon gré comme si vous serviez le Seigneur et non les hommes, sachant que cha­cun, esclave ou libre, recueillera du Seigneur selon le bien qu’il aura fait. Quant à vous, maîtres, agis­sez de même à l’é­gard de vos servi­teurs ; abstenez-vous de men­aces, sachant que leur Maître et le vôtre est dans les cieux et que devant lui il n’y a pas de con­sid­éra­tion de per­son­nes » (Ep 6.5–9). Si vous êtes patron, Andrew Carnegie vous sug­gère ceci : 1) soyez organ­isé. Assurez-vous d’avoir tou­jours la bonne per­son­ne au bon poste. 2) sachez déléguer. Don­nez à cha­cun l’autorité et la lib­erté de faire le tra­vail pour lequel vous l’avez engagé. 3) pensez à super­vis­er. Vous obtenez plus en con­trôlant qu’en espérant. 4) soyez recon­nais­sant. Les bons ouvri­ers sont rares. Si vous voulez con­serv­er les vôtres, recon­nais­sez et récom­pensez leurs efforts.