"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Les enfants sans père ont deux fois plus de risques de con­naître des prob­lèmes émo­tion­nels ou com­porte­men­taux, de con­som­mer drogue ou alcool ou encore de som­br­er dans le sexe très tôt, et trois fois plus de com­met­tre des actes crim­inels. Plus de la moitié des ado­les­cents qui ten­tent de se sui­cider vivent dans un foy­er mono­parental. La plu­part des jeunes fugueurs n’ont pas de père à la mai­son et les garçons sans père ont trois fois plus de risques de finir en prison. Plus des deux tiers des filles privées de père se mari­ent jeunes, si jamais elles se mari­ent, ou alors ont des enfants sans être mar­iées. Celles qui se mari­ent ont un taux de divorce très élevé. Les fils sans père ont un plus grand risque de con­naître l’échec dans leur mariage. Qua­tre vingts pour cent des ado­les­cents admis en hôpi­tal psy­chi­a­trique sont issus de foy­er sans fig­ure pater­nelle et la moitié d’entre eux ont un risque par­ti­c­ulière­ment élevé de con­naître des dif­fi­cultés d’apprentissage. Ils ont un par­cours sco­laire désas­treux et ont une prob­a­bil­ité trois fois plus grande d’abandonner pré­maturé­ment leurs études. Il est toute­fois pos­si­ble d’être présent de corps mais absent de cœur. Une étude récente a mon­tré que cinquante pour cent des pères dis­ent se sen­tir coupables parce qu’ils passent très peu de temps avec leurs enfants. Selon cer­tains experts, les pères con­sacrent en moyenne huit min­utes par jour à une véri­ta­ble dis­cus­sion avec leurs enfants. Dans les familles où les mères tra­vail­lent, ce temps tombe à qua­tre min­utes. Si vous trou­vez ces sta­tis­tiques choquantes, réveillez-vous et réagissez !

"Merci pour Parole du Jour, toujours aussi parlante à mon cœur. Elle me fait grandir et me remplit de joie dans ce monde chaotique." Monique Je fais un don