Chuck Swindoll raconte l’histoire d’un couple dont le mariage avait été un combat de cinquante ans. À la mort de son mari, sa femme doit choisir une pierre tombale. Elle dit au marbrier : « Je ne veux pas de fantaisie, ni dépenser beaucoup d’argent. Gravez simplement les mots : “À mon mari”, au bon endroit. » Plus tard, elle se rend sur la tombe et, à sa grande horreur, elle lit ces mots : « À mon mari au bon endroit ». Swindoll écrit : « Une histoire drôle aide à masquer la douleur et la détresse qui entourent la mort. Puis on arrête de rire parce que la mort finit par arriver. L’humour, même s’il fait du bien, est incapable d’arrêter la Grande Faucheuse. Un autocollant disait : “Ne prenez pas la vie trop au sérieux, vous n’en sortirez pas vivant.” En réalité, on doit prendre la vie et la mort au sérieux parce que l’on en sortira vivant. On sera tous confrontés à la vie après la mort parce que l’âme est éternelle. On vivra quelque part pour toujours. La question est de savoir où. Ça dépend de la réponse à cette question de Jésus : « Celui qui croit en moi […] ne mourra jamais. Crois-tu cela ? » Seul Jésus a le pouvoir de ressusciter. Mon assurance de passer l’éternité avec lui au ciel dépend de ma réponse. Si j’accepte en demandant à Jésus de pardonner mes péchés, et en m’engageant à le suivre en tant que mon Seigneur, alors seulement je bénéficie de sa puissance de vie. Alors seulement je peux faire face à ma fin de vie avec calme et joyeuse impatience. »
Crois-tu cela ?
