Réjouissez-vous !

Dites chaque matin : « Aujour­d’hui je sor­ti­rai dans la joie ». Ça vous met­tra d’aplomb ! Il y a en gros trois sortes de gens : 1) ceux qui se méfient du bien-être. Ils croient qu’on n’est pas cen­sé être heureux, juste « respon­s­able ». 2) ceux qui vous gâchent la fête parce que votre bon­heur les dérange. Ceux-là ont sou­vent été blessés par la vie et leur colère frémit à fleur de peau. 3) ceux qui élèvent votre esprit et vous insuf­flent de la vie. Vous dites : « Mais la Bible ne dit-elle pas que les croy­ants sont sup­posés être dif­férents des non-croy­ants ? » Oui, mais pas en pire, en mieux ! Et tant que vous ne vous êtes pas engagé(e) à marcher dans la joie du Seigneur, vous trou­verez des façons néga­tives de vous dis­tinguer des non-croy­ants. Paul écrit : « Réjouis­sez-vous tou­jours dans le Seigneur » (Ph 4.4). Si vous pensez : « Paul a beau jeu de le dire, il n’a pas mes prob­lèmes », réfléchissez ! Paul a écrit ces mots en prison sans espoir d’en sor­tir. Pour lui la joie était une déci­sion, non une réac­tion aux cir­con­stances. Com­ment Paul pou­vait-il se réjouir en prison ? Il avait com­pris que la vraie joie vient d’un dévoue­ment à une chose plus grande que son pro­pre intérêt. La Bible affirme : « La joie de l’Éter­nel est votre force » (Né 8.10). Pour obtenir une vraie joie, il faut : a) choisir en con­science de vous focalis­er jour après jour sur la bon­té de Dieu, b) ren­con­tr­er les autres pour les bénir à la moin­dre occa­sion, c) com­pren­dre que la joie vous for­ti­fie, et qu’elle est donc la prin­ci­pale cible du dia­ble. Quand vous perdez votre joie, vous perdez vos forces, et il gagne le com­bat. Alors ne le lais­sez pas faire, réjouissez-vous !