Pour identifier la source du découragement, il est utile de parler à quelqu’un susceptible de nous conseiller. Mais parfois, parler de ses problèmes ne les résout pas. C’est pourquoi la Bible dit : « Pratiquez la parole et ne l’écoutez pas seulement, en vous abusant par de faux raisonnements » Pour cela il faut : 1) toujours faire ce qui est juste. Le regret ou la culpabilité augmentent le découragement. Il est difficile de s’excuser, d’admettre ses fautes, de pardonner, de se calmer, de supporter un blâme mérité ou de repartir à zéro. Mais le faire quand il le faut est toujours payant. On doit se regarder tel qu’on est, et accepter la réalité, 2) attendre le bon moment. Souvent, on cherche le secours dans la vallée au lieu d’attendre la clarté qui vient du sommet de la montagne. C’est parce qu’il faut beaucoup d’efforts pour arriver au sommet ! Lorsqu’on a vécu dans l’obscurité de la vallée, il est tentant de changer des choses, ce qui, on l’espère, fera disparaître notre malaise. Robert Schuller dit : « C’est lorsqu’on est au sommet de la montagne qu’il faut prendre une décision car on voit la situation plus clairement. Non seulement on quitte un endroit, mais on se rend ailleurs. On décide en réfléchissant de façon positive. Mieux vaut aller de sommet en sommet que de vallée en vallée. » Par ailleurs, si on persévère pendant qu’on est dans la vallée, non seulement on atteindra les hauteurs, là où on peut prendre des décisions plus sages, mais on aura forgé son caractère, ce qui sera utile toute la vie.
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