"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don
Pour des raisons que seuls Dieu et Satan connaissent, Job a presque tout perdu. Il avait bien des raisons d’être amer. Mais Éliphaz l’avertit : « Le sot en veut à tous, et il en meurt bientôt ». Autrement dit, le ressentiment ajoute une souffrance inutile. Pourquoi s’affliger encore en laissant l’amertume dominer son esprit et guider ses actions ? Vous dites : « Mais je veux la justice ! ». Quelle justice ? Imaginez un instant votre ennemi attaché à un poteau. Le bourreau, fouet à la main, se tourne alors vers vous et demande : « Combien de coups de fouet ? ». Vous lui répondez, le fouet claque, le sang coule, la sanction est appliquée. Votre ennemi s’effondre et vous vous en allez. Êtes-vous vraiment satisfait ? En paix ? Oui, pour un temps. Car bientôt, un autre souvenir refera surface, et d’autres coups seront nécessaires. Quand est-ce que ça s’arrêtera ? Lorsque vous prendrez au sérieux ces paroles de Jésus : « Si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi, mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos fautes » (Mt 6.14–15). Lorsque vous priez : « Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés » (Mt 6.12), vous demandez à Dieu de vous traiter comme vous traitez les autres ! Il vous accordera ce que vous leur accordez. Si vous désirez la paix, faites la paix. Si vous voulez que Dieu soit généreux avec vous, soyez généreux avec les autres. Voulez-vous son pardon ? Pardonnez aux autres.