Conseils pour voyageurs (2)

Dieu ne veut pas sim­ple­ment votre survie, mais votre sat­is­fac­tion (voir Ps 35.27). Satan vous atta­que­ra, mais il ne peut vous sépar­er de l’amour de Dieu ou vous empêch­er de recevoir ses béné­dic­tions. Satan vous dira le con­traire mais c’est un men­songe. Vous vous doutez bien qu’il en est frus­tré ! Si Dieu vous a fait une promesse, il vous donne la force de sur­mon­ter des choses que les autres ne peu­vent pas. Toute l’eau des océans ne va pas vous noy­er tant qu’elle reste hors de la bar­que. C’est ce que vous lais­sez entr­er qui vous blesse ! Alors gardez votre cœur étanche. Vivez votre rêve, et il vous main­tien­dra en vie. Si vous voulez le trophée, soyez prêt(e) à en pay­er le prix. Ven­dre ses plus beaux rêves pour un désir pas­sager, voilà la caus­es de nom­bre de nos échecs. Non, plus le défi est grand, plus la récom­pense qui vous attend est grande. Paul a les yeux fixés sur le prix lorsqu’il écrit : « Soyez fer­mes, inébran­lables, pro­gressez tou­jours dans l’œu­vre du Seigneur, sachant que votre tra­vail n’est pas vain » (1Co 15.58). La seule chose que la vie vous doit est une occa­sion de grandir. Pour suiv­re Dieu, Moïse a fui un palais, Élisée a quit­té sa ferme, et Luc a cessé d’ex­ercer la médecine. C’est ce que vous êtes prêt(e) à laiss­er qui déter­mine ce que Dieu peut vous con­fi­er. Alors tournez les pages, allez de l’a­vant, accrochez-vous aux objec­tifs que Dieu vous a don­nés. Con­tin­uez de grandir, restez concentré(e), gardez la foi, et ce qui vous manque aujour­d’hui peut vous appartenir demain.