Le change­ment nous fait sor­tir d’un monde fam­i­li­er pour nous plonger dans un monde incon­nu. Ce boule­verse­ment peut pro­duire des ten­sions et nous pouss­er à résis­ter, de peur de per­dre notre joie, notre paix et notre assur­ance. Il est ami ou enne­mi, selon notre réac­tion. Le fuir peut en faire un enne­mi. L’accepter et vouloir appren­dre quelque chose de nou­veau peut en faire notre meilleur ami. Neil Strait a dit : « Le change­ment est plus dif­fi­cile pour celui qui aime ses habi­tudes et veut tout con­trôler, il n’accepte aucun change­ment et tout ce qui pour­rait l’amener plus loin ». Face à l’inconnu, plutôt que de résis­ter sys­té­ma­tique­ment, « [Regardez] les gens en face, droit devant [vous], avec fran­chise » (Pr 4.25, PDV). Deman­dez-vous : « Et si Dieu était en train de m’apprendre quelque chose ? Com­ment puis-je devenir plus sage et plus fort ? Quelles nou­velles oppor­tu­nités s’offrent à moi ? » John Mason a dit : « Le change­ment pro­duit tou­jours des fruits. Il peut vous faire pro­gress­er et vous don­ner l’occasion de grandir. Chaque fois que vous pensez mérit­er un titre à “l’école de l’expérience”, quelqu’un vient vous faire pass­er un nou­v­el exa­m­en, et, si vous savez être à la fois ferme et sou­ple quand il le faut, vous obtien­drez un nou­veau diplôme ». N’ayez pas peur de l’in­con­nu : « Sur un chemin qu’ils ne con­nais­saient pas, je les con­duirai par des sen­tiers qu’ils igno­raient ; je chang­erai devant eux les ténèbres en lumière et les endroits tortueux en ter­rain plat » (Esa 42.16). Dieu ne ferme jamais une porte sans en ouvrir une autre, encore faut-il que vous soyez prêt à pass­er par cette porte !