Le doc­teur James Dob­son a con­fié à un jour­nal­iste : « Notre cul­ture a pro­fondé­ment changé. Aujourd’hui, les filles gran­dis­sent beau­coup trop vite. L’influence de l’industrie du diver­tisse­ment les amène à vivre des expéri­ences que leur mère et grand-mères n’ont jamais con­nues. Cette accéléra­tion con­duit les petites filles bien trop tôt dans l’adolescence, pour con­naître très jeunes un éveil de la sex­u­al­ité qui peut pro­fondé­ment les per­turber. Hélas, ces trou­bles psy­chologiques con­duisent fréquem­ment à l’anorex­ie ou à la boulim­ie. Qua­tre-vingt-dix pour cent des vic­times de ces trou­bles ali­men­taires sont des filles, et cer­taines n’ont que cinq ans ! Il y a quelque temps, une mar­que de vête­ments a retiré de la vente des mail­lots de bain avec des sou­tiens-gorge rem­bour­rés des­tinés aux fil­lettes de sept ans ! Si on ajoute les auto­mu­ti­la­tions, les pierc­ings et les agres­sions sex­uelles jusque dans les écoles pri­maires, ain­si que la drogue et l’alcool, le tableau est com­plet. Les filles sont main­tenant à égal­ité avec les garçons dans l’alcoolisation express et l’on con­state chez elles une mon­tée de la vio­lence. Un enfant sur trois est vic­time ou respon­s­able de brimades. Régulière­ment, des jeunes filles se sui­ci­dent après avoir été l’objet de moqueries. Élever des enfants n’a jamais été facile, mais aujourd’hui, c’est franche­ment com­pliqué. » Si pour vous, par­ents, vivre dans la mai­son de vos rêves et gravir l’échelle sociale sig­ni­fie per­dre vos enfants, vous le regret­terez amère­ment un jour. Vous n’aurez pas de sec­onde chance ! « Les com­man­de­ments que je te com­mu­nique aujour­d’hui demeureront gravés dans ton cœur. Tu les enseign­eras à tes enfants ; tu en par­leras quand tu seras assis chez toi ou quand tu marcheras le long d’une route, quand tu te coucheras ou quand tu te lèveras » (De 6.6–7, BFC).