La devise des scouts : « Tou­jours prêt ! » est une bonne devise. Dans l’Exode, Dieu a dit à Israël : « Voici com­ment vous man­gerez [l’Ag­neau] : […] vos san­dales aux pieds et votre bâton à la main ». Autrement dit : « À mon com­man­de­ment, soyez prêts ! » Dieu vous demande peut-être de chang­er, mais la crainte vous en empêche. Passez out­re ! Le change­ment est signe de développe­ment. Ce qui a don­né de bons résul­tats dans le passé peut être source d’échec dans l’avenir. Si vous n’êtes pas prêt à chang­er, vous ne pou­vez pas devenir celui que Dieu veut que vous soyez. John Pat­ter­son a dit : « Seuls les fous et les morts ne changent jamais. Les fous ne le veu­lent pas et les morts ne le peu­vent pas ». Le change­ment n’est pas un enne­mi. Si vous vous con­sid­érez comme un appren­ti à vie, cher­chant tou­jours à pro­gress­er, le change­ment devient votre allié. Apprenez avec ceux que vous ren­con­trez, cherchez des idées et des straté­gies nou­velles pour sor­tir de votre univers ras­sur­ant et habituel. Jim Pen­ner a dit : « Quoique nous fas­sions, nos corps changent. Notre loge­ment change avec les évo­lu­tions de la vie. Notre vie pro­fes­sion­nelle change avec la sit­u­a­tion économique et les nou­velles oppor­tu­nités. Les ami­tiés changent avec les besoins de la famille et les muta­tions pro­fes­sion­nelles. Cer­tains change­ments sont agréables, d’autres douloureux, mais peu importe la nature du change­ment, vous pou­vez trou­ver un récon­fort dans Malachie : “Moi, le Seigneur, je ne change pas” (Mal 3.6, BFC). Ses mis­éri­cordes sont éter­nelles, et c’est un sen­ti­ment extra­or­di­naire de savoir qu’il nous aime et nous dirige, comme il le fai­sait aupar­a­vant pour son peuple ».