La con­sécra­tion jus­ti­fie le troisième droit de Dieu sur votre vie. Ce mot sig­ni­fie « être mis à part dans un seul but ». Vous dites peut-être : « Mais j’ai telle­ment de défauts ! » Dieu n’exige pas la per­fec­tion, mais notre bonne volon­té. Dans la Bible, tout grand-prêtre était choisi par­mi les hommes (Hé 5.1, BFC). Ceux que Dieu appelait à son ser­vice étaient tous des gens impar­faits. Dieu appelle de telles per­son­nes parce qu’un homme impar­fait « peut donc mon­tr­er de la com­préhen­sion à l’é­gard des igno­rants et de ceux qui com­met­tent des erreurs » (Hé 5.2, BFC). Vos par­ents désirent-ils vous envoy­er dans une école biblique pour devenir pas­teur ? Voilà une bonne et une mau­vaise nou­velle. La bonne est que l’école biblique peut dévelop­per votre apti­tude à vous con­sacr­er à Christ et vous don­ner une meilleure con­nais­sance de sa Parole. La mau­vaise est que ce n’est pas à vos par­ents de vous y pouss­er mais à Dieu seul ! « Per­son­ne ne s’at­tribue à soi-même cet hon­neur ; on y est appelé par Dieu » (Hé 5.4, NBS). Mais com­ment savoir que vous êtes appelé par Dieu ? Par votre capac­ité à porter du fruit. Lorsque Israël a con­testé ses dirigeants, Dieu a dit à Moïse de choisir un homme par­mi les douze tribus d’Israël et de dépos­er dans l’arche le bâton de chaque respon­s­able de tribu. Celui sur lequel des bour­geons appa­raî­traient le lende­main désign­erait le chef que Dieu avait choisi (No 17.16–20). La Bible dit : « Les cadeaux d’un homme lui élar­gis­sent la voie » (Pr 18.16). Quand Dieu appelle, il ouvre les portes et donne les moyens néces­saires. Tout ce qu’il demande, c’est que l’on fasse sa volonté.