Le psalmiste a écrit : « Ceux qui regar­dent vers lui bril­lent de joie, et leur vis­age n’est pas cou­vert de honte ». C’est votre témoignage comme dis­ci­ple de Christ. Si vous lui faites con­fi­ance, vous n’aurez pas honte de : 1) Sa nais­sance. Marie était sa mère mais grâce à Dieu son père, il n’a pas hérité du péché et ne l’a jamais com­mis, réu­nis­sant ain­si les con­di­tions pour devenir notre Sauveur. 2) Ses mir­a­cles. Il n’a jamais fait un mir­a­cle pour de l’argent, pour lui-même, ou pour le spec­ta­cle, mais pour répon­dre aux besoins des gens. 3) Sa prédi­ca­tion. Ses enne­mis l’ont recon­nu : « Jamais homme n’a par­lé comme par­le cet homme» (Jn 7.46). Si les paroles des hommes nous infor­ment, celles de Jésus nous trans­for­ment. 4) Ses déc­la­ra­tions. Il a dit : « Celui qui m’a vu, a vu le Père » (Jn 14.9). Nous décou­vrons en Jésus la pléni­tude de Dieu man­i­festée. 5) Sa mort. Il a porté notre honte. Nous étions morale­ment et spir­ituelle­ment en fail­lite, mais à la croix, il a sat­is­fait toutes les exi­gences de la jus­tice divine, déclarant sur notre compte : « Tout est payé ». 6) Sa résur­rec­tion. Un can­tique dit : « Élevé pour mourir, “Tout est accom­pli” fut son dernier cri. Aujourd’hui, il est élevé dans le ciel. Alléluia, quel Sauveur ! » Voici sa promesse : « Parce que je vis […] vous vivrez aus­si » (Jn 14.19, BFC). 7) Son rôle de médi­a­teur. Lorsque vous péchez, il se tient devant Dieu à votre place, offrant son sang pour l’expiation de vos fautes. Si vous croyez tout cela, vous direz : « Je n’ai pas honte ».