"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Julie Cole­man a écrit : « Je me rendais à Philadel­phie en voiture, pour assur­er une con­férence, lorsque j’ai réal­isé que j’avais oublié de faire le plein. Habituelle­ment, je sélec­tionne l’endroit où je m’arrête. Mais comme j’étais sur une route déserte, je com­mençais à dés­espér­er. Il fai­sait 40 degrés à l’ombre et je n’avais pas la moin­dre bouteille d’eau. J’ai roulé jusqu’à un car­refour où se trou­vaient qua­tre maisons et une sta­tion d’essence, un endroit per­du sor­ti tout droit de l’enfer ! En temps nor­mal, je n’y aurais pas même jeté un regard, mais ce jour-là, c’était comme un coin de par­adis ! C’est éton­nant comme les cir­con­stances peu­vent influ­encer nos sen­ti­ments ». Pour­suivi pas ses enne­mis, David pri­ait ain­si : « Je me sens devant toi comme une terre qui meurt de soif. […] fais-moi con­naître quel chemin je dois suiv­re » (Ps 143.6, 8, BFC). La prière de David aurait-elle été dif­férente s’il avait été dans le luxe, entouré de gens à son ser­vice ? L’incertitude du prochain repas et les nuits à dormir dehors changent la vision des choses. Lorsque la vie nous sourit, nous devenons vite autonomes et oublions Dieu. Sur le plan spir­ituel, vous pou­vez voy­ager sans car­bu­rant jusqu’à la venue d’une épreuve. Mais si le réser­voir est vide, à qui la faute ? La sta­tion-ser­vice n’a pas bougé ! Vous avez choisi de ne pas vous arrêter ! Lorsque vous roulez à vide, vous finis­sez par bless­er vos proches et devez gér­er la cul­pa­bil­ité qui suit la panne sèche. Dieu dit pour­tant : « Je vais arroser le pays qui meurt de soif ». C’est pourquoi, aujourd’hui, prenez votre Bible et faites le plein de votre âme !