"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Pourquoi quelqu’un devrait-il quit­ter le con­fort de sa mai­son, faire des mil­liers de kilo­mètres à dos de chameau, braver des déserts brûlants et par­courir des chemins périlleux, pour suiv­re une étoile vers une des­ti­na­tion incon­nue ? La seule réponse, c’est que les femmes ou les hommes sages ont tou­jours eu soif de Dieu. On dit que le tra­vail, le sexe et Dieu sont les trois mots les plus recher­chés sur Inter­net. Le tra­vail répond au besoin de sécu­rité, le sexe au besoin char­nel et intime, et Dieu au besoin de par­don, de paix, de joie et de sens pour notre vie. C’est la rai­son pour laque­lle les sociétés prim­i­tives qui ne con­nais­saient pas Dieu fab­ri­quaient des divinités à par­tir des mon­tagnes, des arbres et des rochers. L’homme a besoin, au plus pro­fond de lui-même, de quelque chose de plus grand que lui, quelqu’un capa­ble de l’aimer, le pro­téger et le diriger. Quand Job a vu sa vie s’effondrer, il a dit : « Si je savais où le trou­ver, si je pou­vais arriv­er jusqu’à sa rési­dence » (Jo 23.3). Les Grecs de l’Antiquité avaient con­stru­it, sur la colline de Mars, un autel avec cette inscrip­tion : « À un dieu incon­nu » (Ac 17.23). La bonne nou­velle de Noël est celle-ci : Vous pou­vez chercher Dieu et le trou­ver en accep­tant Jésus comme votre Sauveur per­son­nel. Le prophète Osée a appelé Israël à revenir à Dieu dans les ter­mes suiv­ants : « Cher­chons à con­naître l’Éternel ; sa venue est aus­si cer­taine que celle de l’aurore. Il vien­dra pour nous comme une ondée, comme la pluie du print­emps qui arrose la terre » (Os 6.3).