La nais­sance de Jésus divise l’Histoire en deux par­ties : avant et après Jésus-Christ. L’His­toire est donc son his­toire ! Remar­quez que les mages n’ont pas trou­vé Jésus dans l’Église. Éton­nant, n’est-ce pas ? Les experts et les théolo­giens scru­taient leurs par­chemins pous­siéreux comme ils le fai­saient depuis des généra­tions. Ils enseignaient à leurs fidèles que le Messie allait venir, mais ils ne l’ont pas recon­nu lorsqu’il est venu. Et pour­tant, l’Ancien Tes­ta­ment par­le très sou­vent de lui. Il décrit sa généalo­gie. Dieu a dit à Abra­ham : « Toutes les familles de la terre seront bénies en toi et en ta descen­dance » (Ge 28.14). Il annonce de quelle tribu il doit venir. Jacob a prophétisé devant ses fils : « Le pou­voir roy­al restera dans la famille de Juda. Le bâton des chefs restera dans la main de ceux qui naîtront de lui. Il y restera jusqu’à l’ar­rivée de son véri­ta­ble pro­prié­taire, c’est à lui que les peu­ples obéiront » (Ge 49.10, PDV). Il iden­ti­fie son orig­ine famil­iale. Écoutez les pro­pos d’Ésaïe : « Un rameau sor­ti­ra du tronc d’Isaï, et le reje­ton de ses racines fruc­ti­fiera. L’Esprit de l’Éternel reposera sur lui » (Esa 11.1–2). Il annonce sa nais­sance d’une vierge. « La jeune fille est enceinte, elle enfan­tera un fils et lui don­nera le nom d’Emmanuel » (Esa 7.14). Le prophète Daniel a même indiqué le moment de sa nais­sance (Da 9.25). Ce Dieu de pré­ci­sion et de prémédi­ta­tion a pour votre vie aus­si un plan qui seul vous ren­dra heureux. La bonne nou­velle, c’est qu’il vient vers nous lorsqu’il est invité. Alors invitez-le aujourd’hui dans votre vie.