Si vous encour­agez votre équipe de foot favorite en cri­ant à tue-tête le same­di, mais que le dimanche, à l’heure de louer Dieu, vous restez silen­cieux et en retrait, il est prob­a­ble que le sport vous ent­hou­si­asme plus que les choses spir­ituelles. La louange est une affaire de valeurs. Laque­lle accordez-vous à Dieu et à votre rela­tion avec lui ? Vous avez beau dire que par­fois vous n’avez pas la tête à louer Dieu, sachez que l’humeur n’a rien à voir là-dedans ! Une bonne rela­tion est basée sur un engage­ment, non pas sur des sen­ti­ments. La Bible dit : « Offrons donc sans cesse à Dieu un sac­ri­fice de louange, c’est-à-dire le fruit de lèvres qui recon­nais­sent publique­ment son nom » (Hé 13.15, NBS). Notez bien « sans cesse » et « sac­ri­fice ». Avec Dieu, l’adoration qui coûte est celle qui compte ! Le Psalmiste dit : « Du lever du soleil jusqu’à son couchant, que le nom de l’Éter­nel soit loué » (Ps 113.3). David se ménageait des plages d’adoration tout au long de la journée : « Sept fois le jour je te loue » (Ps 119.164). Nous avons bien des paus­es-café. Ayons des « paus­es-louange » ! Si vous voulez chang­er votre atti­tude et votre envi­ron­nement, com­mencez par ador­er Dieu tout au long de la journée. Non seule­ment vous bénirez l’Éternel, mais il vous béni­ra de mille et une façons. Ne lais­sez per­son­ne vous dire le con­traire, essayez et vous verrez !