La Bible dit : « Jésus, qui avait aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’au bout » (Jn 13.1). Jésus lui-même déclare : « Je ne cherche pas ma volon­té, mais la volon­té de celui qui m’a envoyé » (Jn 5.30). Dieu peut-il compter sur vous ? Les autres le peu­vent-ils ? Tenez-vous vos promess­es ou bien êtes-vous du genre à aban­don­ner sur un coup de tête ou à revenir sur votre parole quand vous recevez une meilleure offre ? « Or, il y avait à Damas un dis­ci­ple du nom d’Ana­nias. Le Seigneur lui dit dans une vision : Ana­nias ! Il répon­dit : Me voici, Seigneur ! » (Ac 9.10). Dieu savait où trou­ver Ana­nias. Sait-il où vous trou­ver ? Le pas­teur Eric Hul­strand prêchait un dimanche, quand une femme âgée s’est évanouie, se cog­nant la tête sur un banc. À l’arrivée de l’ambulance, on l’a allongée sur un bran­card. Elle a aus­sitôt repris con­nais­sance et fait signe à sa fille de s’approcher. Tout le monde pen­sait qu’elle pui­sait dans ses forces pour lui trans­met­tre ses dernières paroles. Sa fille se pen­cha et approcha son oreille. Alors elle l’entendit mur­mur­er : « Mon offrande est dans mon porte-mon­naie ». Les œuvres de Dieu ne devraient pas s’arrêter parce que vous êtes par­ti en vacances en empor­tant vos offran­des avec vous. « Hon­ore l’Éter­nel avec tes biens et avec les prémices de tout ton revenu » (Pr 3.9). Votre fidél­ité ne devrait pas dépen­dre des con­di­tions économiques, mais de votre engage­ment pour Christ. Gardez en mémoire la devise latine du corps des Marines améri­cains : « Sem­per Fidelis » [tou­jours fidèle].