Dieu veut vous voir réus­sir dans la vie (Jos 1.8). Quand vous en serez con­va­in­cu : 1) Prenez en compte votre car­ac­tère. Un bon steak grille vite dans une poêle très chaude, mais un bon ragoût mijote longtemps à basse tem­péra­ture. Dans les deux cas, vous avez un déli­cieux repas. Il vous faut juste savoir de quelle sorte de viande vous dis­posez, et de quelle façon la cuisin­er. Voyez-vous le rap­port ? 2) Sur­mon­tez la crainte d’être dif­férent. Parce que Daniel a refusé de manger la nour­ri­t­ure royale et de s’incliner devant des idol­es, il a atter­ri dans la fos­se aux lions. Mais il en est sor­ti et a été pro­mu au gou­verne­ment à un poste élevé (Da 6.28). Vous ne pou­vez pas à la fois vous fon­dre dans la foule et vous démar­quer. Pour réalis­er de grandes choses, vous devez faire con­fi­ance à Dieu, ignor­er les cri­tiques et pour­suiv­re votre des­tinée. 3) Résis­tez à l’indifférence qui vient en vieil­lis­sant. Gardez l’enthousiasme de vos jeunes années et mélangez-le à la sagesse de vos vieux jours. Ne perdez pas votre idéal­isme. Ne vous découragez pas devant les dif­fi­cultés du quo­ti­di­en. Ne vous lais­sez pas abat­tre par vos échecs. Chaque étape de la vie est parsemée d’obstacles et d’occasions, d’épreuves et de tri­om­phes. C’est à vous de tir­er le max­i­mum du posi­tif sans vous laiss­er décourager par le négatif. À 70 ans, Paul n’a pas hésité à par­tir prêch­er à Rome (Ro 1.15). À 80 ans, Moïse a mené Israël hors d’Égypte. À 85 ans, Caleb a dit : « Donne-moi donc cette mon­tagne […], comme l’Éternel l’a dit » (Jos 14.12). Vous ne serez « vieux » que lorsque les regrets auront pris la place de vos rêves.