D’abord, apprenez à porter votre pro­pre fardeau. Ensuite, soyez capa­ble d’aider ceux qui sont trop faibles pour porter le leur. Enfin, apprenez à dépos­er vos charges devant le Seigneur. « Remets ton sort à l’Éter­nel, et il te sou­tien­dra ».Facile, n’est-ce pas ? Et pour­tant… 1) Si vous êtes égoïste, vous ne penserez qu’à vos pro­pres désirs, besoins et objec­tifs. 2) Si vous ne comptez que sur vous-même, vous n’au­rez pas l’hu­mil­ité qu’il faut pour vous met­tre à genoux et dire : « Seigneur, j’ai besoin de toi. Avant d’a­gir, je dois savoir que tu es à mes côtés ». 3) Si vous êtes auto­suff­isant, vous atten­drez que vos genoux flanchent et que votre dos se brise pour adress­er ce mes­sage de détresse au ciel : « Seigneur, où es-tu ? » Et il répon­dra : « Je suis là, à atten­dre que tu me fass­es enfin con­fi­ance, que tu t’ap­puies sur moi et te ressources en moi ». Jésus a dit : « Je suis la vigne, vous êtes les rameaux. Celui qui demeure uni à moi, et à qui je suis uni, porte beau­coup de fruits, car vous ne pou­vez rien faire sans moi » (Jn 15.5, BFC). La clé du suc­cès dans le Roy­aume de Dieu est de tra­vailler comme si tout dépendait de vous, et de prier comme si tout dépendait de Dieu ! Mar­tin Luther a dit : « J’ai tenu bien des choses dans mes mains, et toutes je les ai per­dues. Mais tout ce que j’ai remis entre les mains de Dieu, je le pos­sède encore ». S’il le faut, Dieu vous lais­sera mor­dre la pous­sière afin de vous amen­er à genoux. Si vous êtes sage, vous n’at­ten­drez pas que cela arrive.