Le 11 sep­tem­bre 2001, les Améri­cains ont été témoins de scènes d’horreur qui res­teront gravées longtemps dans la mémoire du pays. Le monde entier a ressen­ti l’onde de choc et com­pris que plus rien ne serait jamais comme avant. À peine réveil­lés, ils fix­aient avec stupé­fac­tion le petit écran qui mon­trait l’écroulement des tours jumelles, l’attaque mortelle sur le Pen­tagone, et le sort cru­el des pas­sagers d’un avion s’écrasant dans un champ en Penn­syl­vanie. Vio­lentes, soudaines, inat­ten­dues, ces attaques ont boulever­sé les gens et ont illus­tré une ter­ri­ble nou­velle réal­ité : la mon­tée du ter­ror­isme à l’échelle plané­taire. Atten­tats sui­cides, men­aces chim­iques et biologiques, ces peurs se répan­dent partout. Des siè­cles aupar­a­vant, David a enduré la trahi­son de ses amis comme de ses enne­mis. Se sen­tant aban­don­né, seul et vul­nérable, il s’est écrié : « La ter­reur m’en­toure de toutes parts » (Ps 31.14, BFC). David avait beau être un roi, un guer­ri­er et un tueur de géant, il ressen­tait l’horreur de la sit­u­a­tion. Dans sa peur, il s’est tourné vers la seule vraie source de pro­tec­tion : « Je me fie à toi, Seigneur » (v.15). Apeuré, mais tou­jours con­fi­ant ! En choi­sis­sant de se fier à Dieu, il a retrou­vé l’espoir : « Ma vie est entre tes mains » (v.16). Toutes ses angoiss­es ont ouvert la voie de la foi et de la prière : « Quel grand bien­fait tu réserves à tes fidèles ! […] à ceux qui ont recours à toi […] Tu les caches à l’abri, loin des mau­vais­es langues » (v. 20–21). En Jésus, vous trou­verez la paix aux temps de la terreur !