L’espoir apporte le bon­heur, le doute jamais.Vous serez peut-être tou­jours en vie quand Christ revien­dra, ou bien vous ressus­citerez pour le ren­con­tr­er dans les airs. Ce qui est sûr, c’est que Jésus revient ! Ne lais­sez pas les scep­tiques et les faux prophètes vous per­suad­er du con­traire. Ray Bakke racon­te : « J’ai con­nu, à Glas­gow, un vieux pro­fesseur du nom de McDon­ald, qui avait été pris­on­nier de guerre en com­pag­nie d’un aumônier écos­sais. Une clô­ture de bar­belés séparait les Améri­cains des Bri­tan­niques, et McDon­ald étaient du côté améri­cain. Les Améri­cains s’étaient fab­riqué un poste de radio et pou­vaient capter les nou­velles du dehors. Chaque jour, McDon­ald se rendait à la clô­ture pour partager quelques nou­velles avec l’aumônier en gaélique ancien, pour que les Alle­mands ne com­pren­nent pas. Un jour arri­va la nou­velle de la capit­u­la­tion alle­mande. McDon­ald la trans­mit à son ami qui se dirigea aus­sitôt vers les baraque­ments. Quelques instants plus tard, on enten­dit des cris de célébra­tion. La vie du camp changea. Les hommes chan­taient et cri­aient, salu­aient les gardes et se moquaient même des chiens. Lorsque trois nuits plus tard les Alle­mands apprirent enfin la nou­velle, ils s’enfuirent dans l’obscurité en lais­sant les portes ouvertes. Le lende­main matin, Anglais et Améri­cains sor­taient en hommes libres. Mais ils avaient déjà été libérés trois jours plus tôt par la nou­velle de la fin de la guerre ». La cer­ti­tude du retour immi­nent de Christ vous rend libre d’espérer, de vous réjouir aux heures les plus som­bres et d’avoir une rai­son de vivre. Pour ceux que Dieu a rachetés, le meilleur est encore à venir !