Il est impor­tant de savoir gér­er ses pen­sées. Voici deux exem­ples pour l’illustrer. 1) L’orgueil. « Tu es unique. Si tu n’existais pas, il faudrait t’inventer ». C’est le genre de pen­sée qui flat­te l’ego, mais vous devez lui résis­ter, en la soumet­tant à l’au­torité de Christ, et tan­dis que vous dégainez l’épée de l’E­sprit, sa Parole, vous apprenez que Dieu n’aime pas l’orgueil. « N’ayez pas une opin­ion de vous-mêmes plus haute qu’il ne faut ». 2) La ten­ta­tion. Qu’elle soit déclenchée par la vue d’une mini-jupe pour un homme, ou d’un bel apol­lon pour une femme, la ten­ta­tion mur­mure : « C’est bon, vous êtes entre adultes con­sen­tants ». Si vous n’êtes pas sous l’au­torité de Christ, vous ouvrez grand la porte. Mais si vous l’êtes, vous répon­dez : « Pas si vite ». Puis vous con­fiez votre pen­sée trou­ble à Jésus et vous lui deman­dez : « J’y vais ou pas ? » Dans les ver­sets suiv­ants, la réponse est on ne peut plus claire : « Le sexe sans lende­main, sans réelle intim­ité, vous lais­sera plus seul que jamais… Les rela­tions sex­uelles sont-elles bonnes ? Bien sûr, mais seule­ment dans un cer­tain cadre. Il est bon pour un homme d’avoir une femme et pour une femme d’avoir un mari. Les désirs sex­uels sont forts mais le mariage est assez fort pour les sat­is­faire » (1Co 6.15–16, 7.1–3, The Mes­sage, tra­duc­tion libre). Armé de l’opin­ion de Christ et de l’épée de l’E­sprit, que faites-vous ? À moins d’être ten­té par votre con­joint, vous claquez la porte. Fin de l’histoire !