Jusqu’à ce que vous com­pre­niez la façon dont Dieu vous voit, vous lut­terez pour qu’il vous approu­ve et aurez peur d’être incom­pris. Est-ce votre sen­ti­ment aujour­d’hui ? Dans ce cas, méditez les ver­sets suiv­ants pour chas­s­er vos doutes. 1) « Main­tenant, par le Christ, Dieu nous a ren­dus justes » (2Co 5.21, PDV). Le sen­ti­ment d’être indigne est une des meilleures armes de Satan con­tre vous, alors arrachez-la de sa main. Dans un sens, Dieu a placé un écran entre lui et vous, c’est le sang de Jésus. Lorsqu’il vous regarde à tra­vers cet écran, il vous voit juste et par­don­né de tout péché. C’est ce qu’on appelle la « grâce infinie ». 2) « Dieu tien­dra compte de notre foi. En effet, nous croyons en lui, qui a réveil­lé Jésus notre Seigneur de la mort » (Ro 4.24). Com­prenez-vous ? Toute la ver­tu néces­saire pour entr­er dans le Roy­aume des cieux a été créditée sur votre compte au moment où vous avez mis votre con­fi­ance en Christ. Pour un chré­tien, il y a une dif­férence entre posi­tion et con­di­tion. Quand vous péchez, cela affecte votre con­di­tion. Mais votre posi­tion fixe reste « en Christ » (Ro 8.1). Vous dites : « Mais qu’en est-il de mes défauts ? » Ils font par­tie de votre con­di­tion, et le Saint-Esprit y tra­vaille chaque jour (voir 2Co 3.18). La trans­for­ma­tion, le change­ment de forme, c’est un proces­sus quo­ti­di­en. Et tout en le pour­suiv­ant, Dieu vous con­sid­ère jus­ti­fié ! En d’autres ter­mes, la jus­ti­fi­ca­tion n’est pas une per­for­mance mais un état. Dieu vous y met au moment où il vous sauve. Main­tenant vous con­nais­sez votre posi­tion avec Dieu.