Pour que votre âme prospère, vous devez : 1) Remet­tre en ques­tion vos doutes et non votre foi. Nous per­dons trop de temps à ressass­er nos incer­ti­tudes, et ne vivons la foi que par éclair­cies pas­sagères. Les promess­es de Dieu sont réservées aux croy­ants, alors com­mencez par croire ce qu’il dit. 2) ne pas faire « cav­a­lier seul ». L’Ancien Tes­ta­ment racon­te l’histoire du « peu­ple » de Dieu, et les Épitres s’adressent aux « assem­blées ». Ce n’est pas une coïn­ci­dence. On grandit dans la rela­tion, non dans l’isolement ! 3) con­trôler vos pen­sées. Gérez votre cerveau ! « Avoir les ten­dances de la chair, c’est la mort ; avoir celles de l’E­sprit, c’est la vie et la paix » (Ro 8.6). 4) vous couch­er et vous lever rempli(e) de grat­i­tude. Votre journée en sera trans­for­mée. « Remer­ciez Dieu en toute occa­sion » (1Th 5.18, PDV). 5) jeter tout ce qui vous détourne de Dieu, les lec­tures sans intérêt, et même, si néces­saire, la télé ! 6) faire tou­jours preuve de clé­mence Philip Yancey écrit : « Je m’émerveille de l’humilité d’un Dieu qui descend vivre au milieu de ses créa­tures impar­faites, mais ai-je la même atti­tude envers ceux que je dés­ap­prou­ve ? » 7) être clair(e) quand vous affirmez votre foi, et ne pas tomber dans le flou. Paul n’avait pas « honte de l’É­vangile » (Ro 1.16), et vous ne devriez pas non plus. 8) être aimable avec ceux qui vous irri­tent. N’oubliez pas que Dieu les a choi­sis eux aus­si ! Il est par­fois plus aisé d’être aimable avec les non-croy­ants qu’avec les chré­tiens rig­oristes. Mais ce n’est qu’une autre façon de juger ! 9) par­don­ner à ceux qui vous blessent. La haine vous empêche de guérir. Portez plutôt vos blessures devant Dieu.