Voyons ensem­ble les trois dernières étapes pour se remet­tre d’un divorce. L’étape cinq est l’acceptation. Oui, elle est pos­si­ble et doit finir par arriv­er ! À ce moment-là, vous vous sen­tez par­fois coupable de ne plus être triste et déprimé(e). Que se passe-t-il ? Vous avez cessé de vous bat­tre. Votre guerre intérieure a pris fin et vous avez enfin ressen­ti la paix. C’est « la paix de Dieu qui sur­passe toute intel­li­gence » (Ph 4.7). L’étape six est l’espoir. « Il n’y avait plus d’e­spoir, et pour­tant Abra­ham a espéré. […] Devant la promesse de Dieu, il n’a pas man­qué de con­fi­ance. Au con­traire, sa foi l’a rem­pli de force, et il a ren­du gloire à Dieu. Il était sûr d’une chose : ce que Dieu a promis, il est assez puis­sant pour le faire » (Ro 4.18, 20–21). Quelque chose en vous se réveille et vous dites : « Je vais revivre, et aimer à nou­veau. Ma vie n’est pas finie ». Vous retrou­vez une rai­son de vivre, développez de nou­velles rela­tions, et reprenez des forces. La plus grande matu­rité de vos sen­ti­ments devient un atout. L’étape sept est l’accomplissement. Vous dites comme David : « Je ne mour­rai pas, je vivrai et je redi­rai les œuvres de l’Éter­nel » (Ps 118.17). Que ce soit une nou­velle rela­tion, une nou­velle car­rière, ou un pro­jet par­ti­c­uli­er, Dieu s’en occupe pour que vous soyez à nou­veau satisfait(e). Plus aucune rai­son de vous plain­dre à ressass­er des vieux sou­venirs, des erreurs ou des trahisons. Le Dieu qui a dit : « Voici, je fais toutes choses nou­velles (Ap 21.5), vous donne un nou­v­el avenir, que vous refuserez d’échang­er con­tre les douleurs du passé.