Le développe­ment per­son­nel mène à la pro­mo­tion. Observez les gens dans votre église, votre lieu de tra­vail ou votre cer­cle d’amis. Un con­seiller en man­age­ment affirme : « Appren­dre n’est pas une oblig­a­tion, mais plutôt une ques­tion de survie ». Dans la cul­ture d’entreprise, plus votre posi­tion est élevée, moins vous avez à faire et plus vous avez à penser. Imag­inez une salle de con­férence lors d’une impor­tante réu­nion. En général, les fan­tassins sont assis autour d’une table face à leur tablette, attaché-case, et pile de dossiers, quand le (la) président(e) entre dans la salle avec une sim­ple chemise. C’est parce que cet homme ou cette femme n’a pas été recruté(e) pour s’oc­cu­per des tâch­es ordi­naires, mais pour son exper­tise et la force de ses idées. Pour rester à la pointe, les entre­pris­es recherchent les per­son­nes qui ont les meilleures idées. En con­séquence, les pro­mo­tions vont sou­vent aux hommes et aux femmes qui évolu­ent et mon­trent de l’ini­tia­tive. Faites donc preuve d’idées nou­velles et vous ver­rez à quelle vitesse vous serez remarqué(e) ! Daniel était d’abord esclave à Baby­lone, tout en bas de l’échelle. Mais il a très vite été pro­mus con­seiller du roi Neboukad­net­sar, car ce dernier recher­chait des hommes « doués de toute sagesse, d’in­tel­li­gence et d’in­struc­tion, capa­bles de servir dans le palais » (Da 1.4). Vous par­lez d’un emploi sta­ble ! Et pour­tant Daniel s’y est main­tenu (voir v.21). Alors con­sacrez-vous au développe­ment personnel.