L’idée de notre propre mortalité nous dérange. On dit que Florence Nightingale avait si peur de la mort qu’à l’issue de la guerre de Crimée, elle s’est couchée dans son lit pour ne plus se lever que rarement jusqu’à son décès en 1910. Chuck Swindoll dit que pour éviter le sujet, on utilise : « 1) l’humour. Plaisanter sur la mort la maintient à distance pour ne jamais voir la réalité en face. 2) le déni. Louis XIV interdisait que l’on prononce le terme “mort” en sa présence. Mais le 1er septembre 1715, il découvre que la mort est inséparable de l’existence. Les gens dépensent tant d’argent en crèmes anti-âge ou chirurgie plastique pour ne pas voir l’évidente approche de la mort. 3) le romantisme. En Europe, un homme s’est aménagé une pièce spéciale pour y vivre avec sa femme défunte. Son lit jouxte le cercueil. La chambre est décorée de fleurs et de bougies. Chaque jour il rédige un poème dans une vaine tentative d’éviter le chagrin causé par ce décès. 4) la peur. Observez les passagers d’un avion lors de fortes turbulences. Les jeunes comme les plus âgés paniquent et se mettent à crier. » La bonne nouvelle, c’est que vous n’avez pas à craindre la mort ! Celui qui l’a vaincue a dit : « Parce que moi je vis, et que, vous aussi, vous vivrez » (Jn 14.19). Lorsque vous vous repentez et vous engagez avec Christ, il vous garantit la vie éternelle. Après la mort de Lazare, Jésus dit à sa sœur Marthe : « Je suis la résurrection et la vie. […] Quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ? » Dans ce cas, vous vivrez pour toujours avec Christ.