Ne pas parler sans réfléchir, et ne rien dire qui contredise la Parole de Dieu. Ce ne sont pas des principes faciles à suivre, mais c’est une question de vie ou de mort. La Bible dit : « La mort et la vie sont au pouvoir de la langue ». Ça veut dire que l’on peut se bénir soi-même par ses propos. Ésaïe précise : « Celui qui voudra être béni dans le pays voudra l’être par le Dieu de vérité, […] prêtera serment par le Dieu de fidélité ; car les détresses passées seront oubliées » (Esa 65.16). Notez deux choses importantes dans ce verset. 1) Nos propres mots ont plus d’influence sur nous que les mots de n’importe qui d’autre. Ce n’est pas ce que les autres disent qui compte, c’est ce que que l’on dit quand ils ont fini de parler. Conclusion : on a toujours le dernier mot ! 2) On n’entre jamais dans le plan que Dieu a prévu pour nous tant que l’on vit dans le passé. On ne change pas le passé, alors inutile de le ressasser. Dieu a dit : « Ne considérez plus ce qui est ancien. Voici que je fais une chose nouvelle » (Esa 43.18–19). Il est temps de parler le langage de Dieu. Ce n’est pas une mince affaire. Du matin au soir, nos propos pèsent sur notre journée tout comme sur notre avenir à la fois proche et lointain. Si l’on prie et demande à Dieu des réponses spécifiques, on peut influer sur le résultat en s’assurant que nos paroles sont conformes à la sienne. Il faut surtout ne jamais l’oublier quand on ouvre la bouche !
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