N’avez-vous jamais souhaité revenir sur vos propos ? Si bien sûr. Chuck Swindoll écrit : « On réagit de manière impulsive et on réalise, après coup, à quel point on était stupide. En outre, on blesse ceux que l’on aime le plus. Tout ça nous retombe dessus et on se demande comment quelqu’un pourrait nous aimer, en particulier Dieu. Il est alors temps de se tourner vers ces “autres” cités dans le Nouveau Testament. Aimez-vous, édifiez-vous les uns les autres, vivez en paix les uns avec les autres, confessez-vous vos péchés, parlez-vous, avertissez-vous, consolez-vous les uns les autres, priez les uns pour les autres, “portez les fardeaux les uns des autres”. Imaginez un randonneur et son sac à dos. Porte-t-il une vieille rancune ? Une relation brisée ? Des factures impayées ? Mais où peut-il poser son fardeau ? Sur les bancs de l’église au milieu de la foule ? Pas vraiment. Il a besoin d’un endroit où l’on prendra soin de lui. Il s’y sentira libre d’avouer son secret ou son combat. On l’écoutera, l’aidera à poser sa charge et on lui donnera de nouvelles forces. Ces fraternités ne sont pas des services religieux miniatures. Ce sont des noyaux de gens qui aiment le Christ et savent qu’il faut s’entraider. Ils ne pointent pas du doigt, ne prêchent pas et ne comparent pas. Ils sont frères et sœurs en Christ. Êtes-vous impliqué(e) dans un tel groupe ? Si ce n’est pas le cas, il est temps d’un rejoindre un ou de le créer. » Une fois votre fardeau déposé, vous verrez à quel point la randonnée deviendra plus facile.
/
RSS Feed