Voici la vérité sur la mort. 1) Elle est certaine. On raconte qu’un hypocondriaque a fait inscrire ces mots sur sa tombe : « Maintenant, vous croirez peut-être que j’étais malade ! » La sagesse invite à ne pas être obsédé par la mort, mais à s’y préparer. 2) C’est un passage. Le verbe « marcher » signifie que chaque pas nous rapproche de notre dernier départ. « Marcher dans » veut dire « traverser » : c’est une traversée temporaire, et non la destination finale. C’est une métamorphose, telle une chenille qui se transforme en un majestueux papillon qui prend son vol. La Bible dit que notre nouveau corps sera incorruptible, car on ne sera plus jamais confronté à la douleur ou à la maladie. Il sera immortel, car on ne vieillira plus et on ne mourra plus (voir 1Co 15.53). 3) C’est une ombre. Une ombre peut nous effrayer, mais elle ne peut pas nous faire de mal. Pour qu’il y ait de l’ombre, il faut de la lumière. N’est-ce pas curieux que de nombreuses personnes déclarées mortes puis revenues à la vie disent être sorties d’un long tunnel éclairé par une lumière céleste. C’est pourquoi on peut dire : « Je ne crains aucun mal », car le Seigneur est avec nous et il a vaincu la mort, l’enfer et le tombeau ! Jésus dit : « Je suis le vivant. J’étais mort, et me voici vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clés de la mort et du séjour des morts » (Ap 1.18). Réjouissons-nous, car la clé de notre destin éternel n’est pas entre nos mains ni celles de quelqu’un d’autre, mais entre les mains de celui qui nous aime !
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