Jésus raconte l’histoire d’un berger qui possédait cent brebis. Lorsque l’une d’entre elles s’égare, il laisse les quatre-vingt-dix-neuf autres dans la bergerie et la cherche jusqu’à ce qu’il la retrouve. Puis il la met sur ses épaules et se réjouit. Un bon berger ne se soucie pas seulement d’une partie du troupeau, mais de tout le troupeau. C’est particulièrement flagrant lorsqu’une brebis se perd. C’est l’histoire d’une petite fille qui s’égare dans les bois. À la tombée de la nuit, la peur s’empare d’elle. Elle crie et pleure jusqu’à ce que, épuisée, elle s’allonge et s’endorme. Son père, dont la voix était cassée à force de crier son nom, la cherchait depuis des heures lorsqu’il la trouve allongée dans l’herbe. Fou de joie, il se précipite vers elle. La fillette se réveille, saute dans ses bras, le serre contre elle et lui dit : « Papa, je suis si heureuse de t’avoir trouvé ! » C’est aussi notre histoire. Ce n’est pas nous qui trouvons Jésus, c’est lui qui nous trouve parce qu’il nous cherche constamment. Jésus termine sa parabole par ces mots : « Il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent, que pour 99 justes qui n’ont pas besoin de repentance » (Lu 15.7). Chaque fois qu’une personne perdue est retrouvée, le ciel se réjouit. Oui, nous comptons tout autant pour le Seigneur. Tout comme le berger a laissé quatre-vingt-dix-neuf brebis pour chercher celle qui était perdue, Jésus nous aime et est mort pour nous sauver. Alors, venons à lui aujourd’hui !
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