Notre corps est comme un costume terrestre destiné à mourir pour devenir un costume céleste, semblable à celui de Christ. Paul écrit : « Nous portons ce trésor dans des vases de terre » (2Co 4.7). Le trésor, ce qui compte le plus et qui ne mourra jamais, c’est notre âme. Jean écrit : « Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tous égards et que tu sois en bonne santé, comme prospère ton âme. » On estime que le corps humain contient assez de phosphore pour fabriquer 800 000 allumettes, assez de sucre pour fabriquer 60 morceaux, assez de sel pour remplir 20 cuillères, et assez de fer pour fabriquer un tas de gros clous ! Le reste n’est que poussière et eau. C’est l’histoire d’un petit garçon à qui l’on avait enseigné : « Tu es poussière, et tu retourneras à la poussière » (Ge 3.19). Un jour, sa mère lui demande pourquoi il ne cesse de regarder sous son lit, et il répond : « À l’école du dimanche, on nous a dit qu’on vient de la poussière et qu’on retournera à la poussière. Il y a quelqu’un sous mon lit, et je ne sais pas s’il est en train de venir ou de partir ! » Plus sérieusement, puisque le corps est temporel et l’âme éternelle, il convient d’avoir une vision à long terme et de prendre soin de son âme. Nourrissez-la chaque jour avec la Parole de Dieu. Fortifiez-la et enrichissez-la en passant du temps avec lui dans la prière. Découvrez les talents et les trésors qu’il a placés en vous, et investissez-les dans son royaume. Prendre soin de soi, c’est penser à son corps, mais aussi à son âme !
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