
Une épouse écrit : « Je me souviens quand j’ai emprunté ta nouvelle voiture et que je l’ai abîmée. Je pensais que tu m’en voudrais beaucoup, mais ça n’a pas été le cas. Je me souviens de la fois où tu ne voulais pas aller à la plage car tu disais qu’il allait pleuvoir. Nous y sommes allés et il a plu. J’étais pourtant sûre que tu allais me le reprocher, mais tu ne l’as pas fait. Et ce jour où j’ai renversé du jus de fruit sur ton beau smoking. Je savais que tu serais contrarié et que tu me le ferais savoir. Mais tu ne l’as pas fait. Et tu te souviens de cette soirée de gala ? Je m’étais trompée en te disant que c’était une soirée informelle. Avec ton jean, tu ne savais plus où te mettre ! J’étais certaine que tu partirais en colère et que tu me planterais là. Mais tu ne l’as pas fait. Je voulais te dire à ton retour d’Afghanistan, combien je t’aimais et combien je t’appréciais pour toutes ces choses. Mais tu n’es pas revenu. » Ne passez pas le reste de votre vie à regretter les paroles qu’une personne aurait eue besoin d’entendre ! La Bible dit : « Les discours agréables sont douceur pour l’âme et remède pour le corps. » Peu de choses sont aussi efficaces qu’une bonne parole dite au bon moment. De même, les paroles gentilles reçues sont un lourd fardeau à porter. C’est pourquoi il est écrit : « L’inquiétude dans le cœur de l’homme l’accable, mais une bonne parole le réjouit » (Pr 12.25). Ne laissez pas la timidité ou la peur du rejet vous empêcher de dire ce qui doit être dit. Dites-le tant que c’est possible !