
Les psychologues affirment que ce qui influe le plus le présent, c’est est le passé. Cependant, Paul dit d’oublier le passé et de se concentrer sur « ce qui est en avant, courir vers le but, pour obtenir le prix de la vocation céleste » (v.13–14). Un conseiller écrit : « Je sais que vous êtes fatigué(e), accablé(e). Vous pensez que ça ne cessera jamais. Mais vous y êtes presque. Vous avez été maintes fois éprouvés. Il y a eu plus de problèmes que prévus. Et pourtant ça s’est bien passé. Une partie de vous l’a senti, même quand votre tête vous assurait l’inverse, qu’il n’y avait pas de plan, que Dieu vous avait oublié(e). Chaque accident, le plus douloureux, le plus troublant, le plus surprenant, a sa raison d’être. » La Bible dit : « Toutes choses coopèrent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein » (Ro 8.28). Le conseiller poursuit : « Les choses devaient se passer ainsi. Vous ne pensiez pas que ça prendrait autant de temps, mais c’est arrivé. Vous avez appris la patience. Maintenant, les choses se mettent en place. Ça n’a pas été facile, mais gravir une montagne n’est jamais simple. À présent, vous êtes tout près du sommet ! Un instant encore, et la victoire sera vôtre. Redressez-vous, respirez, avancez avec confiance. Le moment est venu de profiter du fruit de vos combats. Votre lutte n’aura pas été vaine. Pour chaque bataille il y a toujours une issue. Certes il y aura d’autres montagnes, mais désormais vous savez comment les franchir. »