Le secret de la réussite

Le secret de la réus­site n’est pas vrai­ment un secret ! Il s’ag­it sim­ple­ment de se relever lorsque l’on est à terre et de retenir les leçons appris­es. En évo­quant des héros tels que Sam­son et David, la Bible dit : « Ils étaient faibles et dev­in­rent forts ; ils furent red­outa­bles à la guerre et repoussèrent des armées étrangères ». Ils n’ont pas tou­jours été forts, mais le sont devenus. Ils n’ont pas gag­né toutes les batailles, mais celles qui comptent. En 1928, Paul Galvin, âgé de 33 ans, échoue une fois de plus dans le domaine de l’in­dus­trie. C’est la deux­ième fois qu’il est con­traint de fer­mer son entre­prise. Mais tou­jours per­suadé que son idée est remar­quable, il assiste à la vente aux enchères de sa pro­pre entre­prise. Avec les 750 dol­lars qu’il a réus­si à réu­nir, il rachète la part de l’in­ven­taire con­sacrée à l’élim­i­na­teur de bat­ter­ies. Avec cette somme, il crée une nou­velle entre­prise de plus en plus rentable aujourd’hui mon­di­ale­ment con­nue : Motoro­la. Un autre entre­pre­neur déclare : « N’ou­bliez pas les deux avan­tages de l’échec : D’abord, si on échoue, on réalise ce qui ne fonc­tionne pas. Ensuite, l’échec donne l’oc­ca­sion d’es­say­er une nou­velle approche. On pense à tort que le suc­cès et l’échec s’opposent, mais ils font tous les deux par­ties d’un même proces­sus. » L’échec est un con­tretemps, pas une défaite. Tout le monde com­met des erreurs, surtout ceux qui agis­sent. Ce n’est que lorsque l’on refuse de pren­dre le risque d’é­chouer que l’on cesse d’ap­pren­dre, de grandir et de réussir.