Un pasteur écrit : « Pour la plupart des gens d’aujourd’hui, une épitaphe appropriée serait “pressé, inquiet, enterré”. Souvent, on aimerait pouvoir oublier ses responsabilités et ses soucis. Le dirigeant d’une petite entreprise décide un jour de le faire. Bien qu’il soit au bord de la faillite, il renonce à s’en préoccuper. Il convoque donc son vice-président et lui dit : “J’en ai assez de m’inquiéter pour l’entreprise. Si tu acceptes de prendre ma place, je t’augmente de 50 000 euros. Perplexe face à cette offre généreuse, et connaissant la situation financière de la société, le vice-président demande : “Mais où vas-tu trouver 50 000 euros ?” Le patron lui répond : “Ce sera ton premier souci !” William Gladstone, ancien premier ministre britannique, servait Dieu. Dans sa chambre était suspendu un tableau avec ce texte : “À celui qui est ferme dans ses dispositions, tu assures la paix”. C’était la première chose que Gladstone voyait en se réveillant et la dernière qu’il voyait avant de se coucher. Voilà le secret de la paix ! Je peux connaître cette paix parce que je sais que celui sur lequel je fixe mon regard est celui qui ne veut que mon bien. Le rythme effréné de la vie moderne vous prive-t-il de la paix aujourd’hui ? Si c’est le cas, ralentissez et recentrez-vous sur Dieu. Réalisez qu’il est avec vous et qu’il contrôle tout, quoi qu’il arrive. Regardez à lui et laissez-le vous accorder sa paix. »
La réponse de Dieu à l’anxiété (4)
