Parfois, on dit aux gens sur le ton de la plaisanterie : « Essayez d’être bon. Si c’est impossible, soyez prudent(e) ! » En clair, si vous refusez d’être bon, soyez assez intelligent(e) pour ne pas vous faire remarquer. Mais trêve de plaisanterie ! Robert Fitch a dit : « Nous sommes dans une époque où la morale devient obsolète. Elle est supplantée par la science, méprisée par les philosophes et les psychologues. Elle attise les polémiques. Elle se dilue dans la compassion, l’esthétique et le relativisme. La distinction morale habituelle entre bien et mal se noie dans un océan de mièvrerie dans laquelle on éprouve plus de sympathie pour le meurtrier que pour sa victime, pour la personne adultère que pour la personne trahie. » On inverse les rôles ! Ça donne à réfléchir. Ce qui était autrefois tout noir ou tout blanc est maintenant gris. La bonté qui répondait à une norme universelle est aujourd’hui une question d’interprétation et de préférence personnelle. L’augmentation de scandales parmi des célébrités dans la sphère privée nous choque et n’améliore pas les choses. Vous êtes peut-être en train de penser : « Je lis cette méditation tous les jours pour en retirer quelque chose qui m’aidera à me sentir bien, et aujourd’hui, je n’y arrive pas. » Effectivement, c’est le but ! Pour se sentir bien, la Bible dit qu’il faut s’entraîner à faire le bien et à être bon, pour la plus grande satisfaction de Dieu.
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