Vos pensées peuvent très vite alimenter vos angoisses. Mais sachez que : 1) vos pensées vous appartiennent ! « Quand une foule de préoccupations s’agite au dedans de moi ». C’est vous qui concevez, interprétez, acceptez ou rejetez vos pensées. Apprenez donc à faire la différence entre les pensées qui vous aident et celles qui vous nuisent. 2) vos pensées vous façonnent (Pr 23.7). Ce ne sont pas les événements mais vos pensées à leur propos qui déterminent vos sentiments. Vos pensées déclenchent une réaction biochimique interne qui détermine vos émotions, leur durée et leur intensité. Dès que vos pensées changent, vos sentiments changent. 3) vos pensées se multiplient. Le Psalmiste parle d’« une foule de préoccupations ». Des pensées fortuites peuvent nous préoccuper un temps, mais sans produire une anxiété durable. En revanche, un système de pensées négatives qui se multiplient produira de l’angoisse. Nous devons amener « toute pensée captive à l’obéissance au Christ » (2Co 10.4–5), de manière à contrôler nos émotions. 4) vous devez « être renouvelés par l’Esprit dans votre intelligence » (Ep 4.23). Remettez vos pensées entre les mains de Dieu, de sorte qu’il puisse les approuver ou les changer si nécessaire. Une fois que vous laissez Dieu contrôler vos pensées, l’anxiété n’a plus de pouvoir sur vous. Vos pensées sont vitales. Elles peuvent diminuer ou augmenter votre anxiété. Évitez les gens qui vous découragent et passez du temps avec ceux qui ont les paroles positives qui vous remplissent de joie (voir Pr 12.25).