Libérer les captifs (2)

Quand les Israélites « appelèrent le Seigneur à leur sec­ours […] il les reti­ra de leur obscur cachot et rompit leurs liens » (v.13–14). Il peut vous libér­er de manière défini­tive de ce qui vous retient cap­tif. Jésus affirme : « Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réelle­ment libres » (Jn 8.36). Alors 1) criez au Seigneur. Dieu dit : « Vous me trou­verez, car vous me chercherez de tout votre cœur » (Jér 29.13). Lais­sez tomber votre dig­nité : à sit­u­a­tion dés­espérée, mesures dés­espérées ! Cessez de vouloir vous débrouiller seul. Si c’est pour vous sauver vous-même, pas besoin de Sauveur ! Remet­tez-vous à Dieu : « Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car il prend soin de vous » (1P 5.7) 2) nour­ris­sez votre âme. Soyez en com­mu­nion avec Jésus. Les Israélites se sont nour­ris de l’ag­neau de la Pâque avant de quit­ter l’esclavage. Jésus, l’Ag­neau de Dieu, déclare : « Moi, je suis le pain vivant. Si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éter­nelle­ment » (Jn 6.51) Partagez avec lui vos émo­tions et vos besoins pour voir votre fardeau s’alléger, votre soli­tude s’atténuer et votre âme être nour­rie. Jésus est venu proclamer « la délivrance aux pris­on­niers, pour libér­er les opprimés » (Lu 4.18). Méditez les Écri­t­ures. Les Israélites sont devenus esclaves pour avoir rejeté la Parole de Dieu : « Parce qu’ils s’é­taient rebel­lés con­tre les paroles de Dieu, […] ils trébuchèrent, et per­son­ne ne les sec­ou­rut ». (Ps 107.11–12, NBS). Pour être libre et le rester, nour­ris­sez-vous chaque jour de la Parole viv­i­fi­ante de Dieu.