La mort divise l’humanité en deux caté­gories : ceux qui ont de l’e­spoir et ceux qui n’en ont pas. Ces derniers n’attendent rien de l’avenir et ont le sen­ti­ment qu’ils vont tout per­dre. Les autres atten­dent tout de l’avenir, et leurs pertes restent pro­vi­soires, car ayant reçu les plus grands dons de Dieu, ils sont au com­mence­ment d’une vie sans fin. Dieu désire vous « faire con­naître la vérité au sujet des morts. Ain­si vous ne serez pas tristes comme les autres qui n’ont aucune espérance » (v. 13). Notre espérance dépend de la con­nais­sance que nous avons de ces vérités : 1) « Nous croyons que Jésus est mort et qu’il s’est relevé de la mort » (v. 14). Toute notre espérance dépend de notre foi dans la mort de Jésus pour nos péchés, et sa résur­rec­tion pour nous représen­ter devant le Père. 2) Si nous croyons cette pre­mière vérité, nous croyons aus­si dans le retour de Jésus. La foi dans son retour sur terre dans un corps glo­ri­fié nous donne cette assur­ance que « ceux qui sont morts avec Jésus en croy­ant en lui, Dieu les réu­ni­ra à Jésus » (v. 14). Dieu nous ressus­cit­era dans ses demeures éter­nelles et nous ramèn­era aux côtés de Jésus (Ro 8.11). C’est alors qu’il : « trans­formera notre corps humil­ié, en le ren­dant sem­blable à son corps glo­rieux » (Ph 3.21). Vous ne serez plus sujet à tous ces maux : can­cer, dia­bète, mal­adie car­diaque, arthrite, acci­dent cérébral, sclérose latérale amy­otrophique, paralysie, hand­i­cap, épuise­ment, faib­lesse, cha­grin, peur, dépres­sion, ten­ta­tions, addic­tions, échecs, remords, pen­sées sui­cidaires, trou­ble bipo­laire, trou­ble obses­sion­nel com­pul­sif, symp­tôme de stress post-trau­ma­tique et toute autre mal­adie. Vous serez trans­for­mé pour être sem­blable à Christ. N’est-ce pas tout sim­ple­ment merveilleux ?