Si vous passez par des moments difficiles, lisez ceci : « Puis survinrent […] des Juifs qui gagnèrent les foules, lapidèrent Paul et le traînèrent hors de la ville, pensant qu’il était mort. Mais les disciples l’entourèrent ; il se leva et rentra dans la ville » (Ac 14.19–20). Notez les passages « pensant qu’il était mort » et « il se leva ». Paul a été battu mais non abattu. « Nous sommes pressés de toute manière, mais non écrasés ; désemparés, mais non désespérés ; persécutés, mais non abandonnés ; abattus, mais non perdus » (2Co 4.8–9). Imaginez Satan se tenant devant Paul comme l’arbitre devant un boxeur au tapis. Compté neuf, Paul se relève et dit : « Touché, mais pas coulé ! ». Paul était d’un optimisme à toute épreuve. C’était un homme qui savait comment se relever et comment relever les autres. Un jour, au plus fort d’une bataille navale, les adversaires de l’amiral Nelson lui demandent de se rendre. L’amiral se saisit de sa longue vue et annonce : « Je ne vois aucun signe d’une quelconque reddition ! » Pendant la guerre, Churchill a menacé les Français en disant que s’il le fallait, la Grande Bretagne se battrait toute seule. Les généraux français lui ont répondu : « Dans trois semaines, l’Angleterre sera égorgée comme un poulet ». Sans se démonter, Churchill a annoncé sur les ondes : « Jamais, jamais nous ne nous rendrons ». Il a tenu le pays à bout de bras ! Après la guerre, Churchill s’est adressé au parlement canadien. Fidèle à son personnage, il s’écria : « Les poulets égorgés vous saluent bien ! » La parole du jour pour vous est : Relevez-vous, Dieu est à vos côtés.