Quelqu’un a écrit : « Nous pleurons la mort d’un vieil ami appelé “bon sens” ! Il a servi efficacement dans les écoles, les hôpitaux et les églises, faisant son travail sans tambour ni trompette. Pendant des décennies, les règlements absurdes et les procès sans fondement ne l’ont pas affecté. Il cultivait des principes de solidarité, de transmission des valeurs et de vie modeste. Il a survécu à la révolution industrielle puis à une crise économique majeure. Mais il n’a pas supporté le déclin moral et spirituel. Il a vu les dirigeants sombrer dans la corruption sans aucune réaction des gens honnêtes. Il a vu la suppression de la prière dans les écoles et la montée du laxisme envers les délinquants. Il a vu le désespoir des enseignants obligés de demander l’autorisation des parents pour administrer une simple aspirine, mais tenus au silence lorsque leur fille veut se faire avorter. Le bon sens a vu mourir la vérité, la confiance et la responsabilité. Il y avait peu de monde à ses obsèques, tant sa mort est passée inaperçue ! » Dans un récent sondage, 50% des personnes ont répondu que la vérité absolue n’existe pas. Regardez autour de vous et vous verrez le résultat ! Dieu ne partage pas cette opinion. Sa Parole dit : « Examinez toutes choses, retenez ce qui est bon ; abstenez-vous du mal sous toutes ses formes » (v.21–22). Dieu avait demandé à Israël de ne pas oublier les limites morales établies pour nous protéger, nous guider et nous bénir (Pr 22.28). Restez attaché au bien et ne craignez pas la critique. Les ténèbres n’ont jamais aimé la lumière, ni le mal, le bien. Marchez donc dans la lumière et la justice.