Comment éviter le burn-out (2)

Pour éviter l’épuisement, faites ces trois choses. 1) Rejoignez un groupe de sou­tien. Des gens avec qui vous pour­rez partager vos dif­fi­cultés, qui vous encour­ageront et vous appren­dront à prier. La Bible dit : « Le fer aigu­ise le fer, ain­si un homme aigu­ise la per­son­nal­ité de son prochain » (Pr 27.17). Ceux qui ont un min­istère sim­i­laire au vôtre com­pren­nent mieux vos besoins physiques, émo­tion­nels et spir­ituels, et peu­vent vous sug­gér­er des pra­tiques nou­velles et béné­fiques. 2) Apprenez à dire fer­me­ment non. Soyez conscient(e) de vos dons, mais aus­si de vos lim­ites. Affron­tez vos peurs, ne les ignorez pas. Développez des straté­gies d’adap­ta­tion. Essayez de ne pas vous sen­tir impuissant(e). Ne croyez pas que les événe­ments ordi­naires sont des cat­a­stro­phes : c’est signe de burn-out. Ne restez pas bloqué(e) sur un point de vue sim­ple­ment parce que vous l’avez tou­jours eu : il n’est peut-être plus val­able. 3) Réalisez qu’il n’y a pas de mal à s’a­muser. Votre corps ne vous lais­sera pas rire et dévelop­per un ulcère en même temps ! Jésus a dit : « Je vous ai par­lé ain­si, afin que ma joie soit en vous et que votre joie soit com­plète. » Il dit aus­si : « Si vous ne devenez pas comme les petits enfants, vous n’en­tr­erez point dans le roy­aume » (Mt 18.3). Les enfants n’es­saient pas de diriger le monde et ne sont pas obsédés par le tra­vail : ils vivent dans l’in­stant présent. Le seul avan­tage à vivre dans le stress est de ren­con­tr­er Jésus plus tôt, alors qu’avec un peu plus de temps, votre récom­pense aurait été plus grande !