C’est l’image que l’on a de Dieu qui détermine la façon de voir les choses. La plupart de nos problèmes ne sont pas d’ordre factuel, mais liés à nos émotions, et sont dus à notre méconnaissance de Dieu. Il dit : « Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies ». Un auteur explique : « Les astronomes ont repéré des galaxies à 12,3 milliards d’années-lumière de la Terre. Pour mettre cette distance en perspective, il faut réaliser que la lumière qui voyage à 300 000 km par seconde, ne met que 8 minutes pour parcourir les 150 millions de kilomètres qui séparent le soleil de la Terre. En revanche, la lumière provenant de la galaxie la plus éloignée met 12,3 milliards d’années pour arriver jusqu’à nous. C’est inimaginable ! Dieu affirme que c’est à peu près la distance entre ses pensées et les nôtres. L’idée que l’on se fait de Dieu se situe à 12,3 milliards d’années-lumière de sa grandeur et de sa bonté réelle. Peut-être faut-il cesser de limiter Dieu et de le réduire à la taille de notre cerveau. Cessons de créer un Dieu à notre image et laissons-le nous conformer à la sienne. » Plus on grandit, plus Dieu doit devenir grand. Et plus Dieu devient grand, plus nos problèmes deviennent petits. Un hymniste a écrit : « Y a‑t-il des rivières que vous pensez infranchissables ? Y a‑t-il des montagnes que vous ne pouvez pas gravir ? Dieu réalise les choses que l’on croit impossibles. Il fait ce que personne d’autre ne sait faire. »
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