Pourquoi quelqu’un devrait-il quit­ter le con­fort de sa mai­son, faire des mil­liers de kilo­mètres à dos de chameau, braver des déserts brûlants et par­courir des chemins périlleux, pour suiv­re une étoile vers une des­ti­na­tion incon­nue ? La seule réponse, c’est que les femmes ou les hommes sages ont tou­jours eu soif de Dieu. On dit que le tra­vail, le sexe et Dieu sont les trois mots les plus recher­chés sur Inter­net. Le tra­vail répond au besoin de sécu­rité, le sexe au besoin char­nel et intime, et Dieu au besoin de par­don, de paix, de joie et de sens pour notre vie. C’est la rai­son pour laque­lle les sociétés prim­i­tives qui ne con­nais­saient pas Dieu fab­ri­quaient des divinités à par­tir des mon­tagnes, des arbres et des rochers. L’homme a besoin, au plus pro­fond de lui-même, de quelque chose de plus grand que lui, quelqu’un capa­ble de l’aimer, le pro­téger et le diriger. Quand Job a vu sa vie s’effondrer, il a dit : « Si je savais où le trou­ver, si je pou­vais arriv­er jusqu’à sa rési­dence » (Jo 23.3). Les Grecs de l’Antiquité avaient con­stru­it, sur la colline de Mars, un autel avec cette inscrip­tion : « À un dieu incon­nu » (Ac 17.23). La bonne nou­velle de Noël est celle-ci : Vous pou­vez chercher Dieu et le trou­ver en accep­tant Jésus comme votre Sauveur per­son­nel. Le prophète Osée a appelé Israël à revenir à Dieu dans les ter­mes suiv­ants : « Cher­chons à con­naître l’Éternel ; sa venue est aus­si cer­taine que celle de l’aurore. Il vien­dra pour nous comme une ondée, comme la pluie du print­emps qui arrose la terre » (Os 6.3).