On aimerait que tout le monde vive un Noël parfait. Mais il y a tant de vies bouleversées par un décès, un divorce, la maladie ou des problèmes financiers. Une auteure écrit : « C’était un 20 décembre. Nulle trace de Noël dans la maison. D’habitude le sapin était déjà décoré, des cantiques de Noël et des odeurs alléchantes flottaient dans l’air. Pas cette année : je venais de divorcer. Mes finances étaient au plus bas. J’étais déprimée. Certains jours, je réussissais à peine à sortir du lit. C’était les vacances de Noël pour mes quatre enfants et il n’y avait toujours pas de sapin. Je les ai entendus murmurer leur déception, et mon cœur s’est brisé. Je leur ai promis d’en acheter un le lendemain. Je n’y croyais pas moi-même. Ce soir-là, j’ai entendu du bruit au sous-sol. Plus tard, près du piano, j’ai découvert le petit sapin artificiel acheté des années auparavant, où j’accrochais les décorations fabriquées à l’école, créations qui ne cadraient pas avec mon magnifique arbre décoré de l’étage. Les enfants l’avaient installé, avaient mis des lumières et y avaient accroché les décorations de leur enfance. Il était toujours aussi pitoyable, mais pourtant si magnifique. J’étais heureuse et reconnaissante qu’ils m’aient fait la surprise ». Si vous passez un Noël difficile, ne culpabilisez pas. On peut surmonter cette journée (voir De 33.25). Jésus est venu pour « guérir ceux qui ont le cœur brisé », alors tournez-vous vers lui ce Noël et demandez-lui de vous rendre la paix et la joie.